Shein, le phénomène de l’ultra fast fashion, qui séduit la Gen Z

Qu’on l’aime ou non, Shein impressionne par son ascension fulgurante.  En moins de 10 ans, la marque chinoise s’est imposée comme la préférée des fashionistas de la Gen Z. Avec un chiffre d’affaires avoisinant les 23 milliards de dollars, le géant du e-commerce prévoit de doubler ses ventes au cours des 2 prochaines années. Un succès que sa boutique éphémère, installée au cœur du quartier du Marais à Paris, début mai, n’a pas démenti… Bien au contraire.
Des prix de « ouf » : l’argument choc de Shein, repris en vitrine de sa boutique éphémère.

Des prix de « ouf » : l’argument choc de Shein, repris en vitrine de sa boutique éphémère

Après Toulouse, Montpellier et Lyon, c’est à Paris, en plein cœur du Marais que Shein a choisi de prendre ses quartiers 4 jours durant, en mai dernier. Jusqu’alors intégralement présente en ligne, la marque chinoise multiplie de plus en plus ces expériences autour de boutiques physiques éphémères, pour aller à la rencontre de ses jeunes clientes. Avec un argument « choc », proposé à ces dernières : des prix de « ouf », pour reprendre l’expression affichée en toutes lettres à l’entrée de la boutique parisienne. Pour cette opération exceptionnelle dans la capitale de la mode, Shein attendait plus de 10 000 visiteurs. Un pari qui semble bel et bien avoir été tenu, à en juger par la longueur des files d’attente qui se sont succédé devant le magasin, durant ces quelques jours de présence !

Une marque plébiscitée par la Gen Z

Pour la très grande majorité, la moyenne d’âge des clientes de la boutique parisienne ne dépassait pas les 25 ans. Et pour cause, les jeunes filles constituent le cœur de cible du géant chinois du e- commerce. En 2022, le site de Shein représentait 6,2 % des volumes d’achat des jeunes, selon le panéliste Kantar, juste devant le géant suédois H&M. Un succès qui permet à la marque d’atteindre le chiffre d’affaires de près de 23 milliards de dollars, ainsi qu’un bénéfice de 700 M$.

Mais Shein ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. D’ici à 2025, la marque prévoit de doubler ses ventes, qui devraient flirter avec les 60 milliards de dollars (55 milliards d’euros environ). Ses bénéfices devraient quant à eux littéralement exploser, pour atteindre 7,5 milliards de dollars (7,3 milliards d’euros). Shein serait ainsi plus importante que Zara et H&M réunis ! La marque pourrait aussi, dès cette année, tenter une introduction à la Bourse de New York.

Un véritable phénomène sur les réseaux sociaux

Qui aurait pu prédire un tel succès lorsque l’entrepreneur Chris Xu, connu pour sa discrétion, a créé SHEINSIDE en 2008, un site de commerce de vente au détail de robes de mariée ? Ce n’est qu’en 2015 que cette enseigne, qui prend rapidement de l’ampleur, deviendra SHEIN. Son offre se diversifie alors. En moins de 10 ans d’existence, la marque chinoise réussit à détrôner tous ses concurrents. Elle vend désormais dans plus de 220 pays. On y retrouve aussi bien de la mode pour femme, homme et enfant, mais aussi des produits pour l’équipement de la maison. Certains articles sont également estampillés « QuickShip », offrant la promesse d’une livraison sous 5 jours.  

Aujourd’hui, Shein est devenue au e-commerce ce que TikTok est aux réseaux sociaux. L’application est même la plus téléchargée dans la catégorie shopping aux États-Unis, mais aussi dans 50 autres pays, devant le géant Amazon. Autre chiffre illustrant encore le succès phénoménal de la marque : sur TikTok, le #shein totalisait près de 59 milliards de vues en avril dernier, contre 6 milliards, 2 ans plus tôt. Enfin, les hauls de vêtements Shein (vidéo de séance de shopping) explosent en termes de vues, eux aussi. Un phénomène sans précédent et une ascension fulgurante, que rien ne semble vouloir arrêter.

Ça bouge chez les acteurs du retail !

Achats, reprises, procédures de liquidations… Les enseignes de prêt-à-porter et les distributeurs spécialisés sont à la peine depuis 1 an. Après Camaïeu et Go Sport, c’est une autre marque, contrôlée par l’homme d’affaires Michel Ohayon, La Grande Récré, qui se trouve actuellement menacée. Mais l’actualité du retail est également marquée par les réflexions autour de l’avenir de Casino, le distributeur français étant, lui aussi, en proie à de graves difficultés financières. Tour d’horizon des principales opérations en cours.

Marché du jouet : JouéClub reprend la quasi-totalité des magasins La Grande Récré

À la suite de sa liquidation,  avec poursuite et maintien de ses activités, la reprise de la Grande Récré est un enjeu pour les acteurs du secteur.

King Jouet avait proposé la reprise de 50 % des succursales, en plus des corners chez Club Med et Total. Joué Club a, quant à elle, apporté une offre plus globale avec le rachat de 90 % des succursales, des 50 franchisés de l’enseigne, ainsi que des corners chez Total, Casino et Club Med. King Jouet a alors réfléchi à l’élargissement de son offre, avant de se retirer. Joué Club semblait alors en pole position, puisque les deux autres offres restantes étaient beaucoup plus partielles avec le rachat d’une quinzaine de points de vente seulement, par Chausséa et Jour de Fêtes.

L’étude des offres par le tribunal s’est déroulée le 22 mai dernier. Ce 9 juin, sans surprise, les juges ont annoncé leur décision, désignant JouéClub comme repreneur exclusif de 89 des 101 magasins intégrés, de tous les contrats de franchise, ainsi que de 750 des 770 salariés du siège, pour un montant qui s’élève à 50 millions d’euros.

Les deux enseignes resteront toutefois indépendantes, avec des positionnements bien distincts : une offre de périphérie, destinée à la famille pour JouéClub, et une offre urbaine dédiée aux enfants, pour la Grande Récré. 

La saga Go Sport se termine enfin !

La saga autour de la reprise de Go Sport, autre enseigne appartenant à Michel Ohayon, a pris fin le 28 avril dernier. Parmi la vingtaine d’offres en lice, seules deux, globales, sortaient du lot : celles de Sport Direct et d’Intersport. La première, qui incluait la reprise de 75 magasins, de 136 des salariés du siège et de 1 477 des salariés en magasins, n’a pas été retenue. Il semble ainsi que la réputation de Sport Direct concernant les conditions de travail offertes aux salariés ait pesé dans la balance. Intersport remporte donc la mise. Le Groupe reprend 72 magasins Go Sport, permettant à l’enseigne de conforter sa position. Intersport reprend également 1 446 des salariés employés en magasins et 185 collaborateurs du siège.

Grande distribution : toujours des incertitudes autour de l’avenir de Casino

Le distributeur Casino a besoin d’assainir sa situation financière en réduisant notamment sa dette (6,4 milliards d’euros, dont 3,6 milliards non sécurisés). Le tribunal de commerce de Paris a ainsi ouvert, fin mai, une procédure de conciliation pour une durée de 4 mois, avec possibilité d’allonger le délai d’un mois.

Dans le même temps, le groupement des Mousquetaires s’est détaché du projet de fusion entre Teract et Casino. Il s’est engagé sur plusieurs points avec le distributeur. Premièrement, Intermarché entend poursuivre, pendant au moins 2 ans, le partenariat en cours relatif aux achats entre les deux entités. En plus des 3 centrales d’achat pour l’alimentaire, le non alimentaire et les achats non marchands, le partenariat inclura une alliance sur les produits en marque propre sur la filière pêche et viande.

Deuxièmement, Intermarché va reprendre les magasins Casino (hypermarchés, supermarchés et quelques Franprix) pour un montant total de 1,15 Mdrs€ de chiffre d’affaires, avec une première salve de 600 millions d’ici la fin de l’année, suivie d’une seconde de 550 millions, sur 3 ans. Enfin, une dernière salve de rachat optionnelle porte sur un chiffre d’affaires de 500 millions d’euros. Celle-ci se présente sous la forme d’une promesse d’achat que Casino peut exercer dans les 3 ans. Les experts tablent, avec ces 3 étapes, sur la reprise de 180 magasins. Ce rachat rapprocherait Intermarché de Carrefour (2e derrière Leclerc) en parts de marché.

Enfin, Intermarché s’engage aussi à investir 100 millions d’euros en fonds propres lors du prochain « tour de table du groupe Casino » sans attendre de savoir lequel des projets, entre celui de Daniel Kretinsky et celuidu trio Pigasse-Zouari-Niel, l’emportera.

En effet, deux offres sont en cours pour sauver le distributeur français. D’un côté, Daniel Kretinsky (EP Global Commerce) et Fimalac qui proposent une augmentation de capital de 1,1 milliard d’euros. Cette injection apporterait le contrôle de la société à l’homme d’affaires tchèque. De l’autre côté, le trio d’investisseurs Mathieu Pigasse, Moez-Alexandre Zouari et Xavier Niel, s’est désolidarisé de Teract mais poursuit son projet de construction d’un nouveau distributeur axé sur l’alimentation durable. Il souhaite lever 1 Mds€, dont 300 M€ en fonds propres. Cette offre un peu inférieure à celle de Daniel Kretinsky, s’inscrit cependant dans un projet industriel 100 % français. 

En bref …

Parmi les autres opérations qui ont marqué ces derniers mois, on notera le rachat de Bricolex par GiFi ; mais aussi les négociations en cours entre Getir et l’application de livraison Flink, le 1er souhaitant racheter le second ; ou encore la reprise de l’enseigne de prêt-à-porter Gap France par une filiale de JD Sports, laquelle se positionne également sur le rachat de Courir.

Dans le secteur de la mode, les chaussures André, en redressement judiciaire depuis février dernier, passent sous pavillon belge. Les 21 magasins restants de l’enseigne ont en effet été rachetés par la société Optakare. Enfin, dans le secteur de la restauration, Côté Sushi reprend les 16 succursales parisiennes de Planet Sushi.

Pavegen : des pavés connectés pour produire de l’électricité en marchant !

Et si, demain, les déplacements des visiteurs dans les centres commerciaux étaient convertis en source d’énergie ? C’est l’ambition de la start-up britannique Pavegen, à travers ses dalles dites piézoélectriques. Des pavés connectés particulièrement innovants, capables de produire de l’électricité grâce à la seule pression des pas exercée dessus.

Votre énergie devient électrique !

Équipés de capteurs électromagnétiques, les pavés de la start-up Pavegen transforment la pression mécanique de la marche en énergie. À chaque pas, la dalle piézoélectrique s’enfonce ainsi légèrement, entraînant la rotation d’un générateur électromagnétique. Un mouvement qui génère la production de 4 à 7 watts d’électricité, en fonction du poids de la personne. De quoi alimenter une ampoule, un chargeur ou encore un petit haut-parleur Bluetooth.

Marcher devient une alternative aux énergies fossiles

Multipliée à l’échelle d’un centre commercial, ou de tout autre lieu très fréquenté comme une gare ou un aéroport, la source d’énergie produite est considérable. Plus de 200 pavages permanents ou provisoires Pavegen ont d’ores et déjà été installés dans 36 pays, depuis l’aéroport d’Abu Dhabi jusqu’à l’université de Birmingham. Les étudiants de ce campus britannique peuvent par exemple recharger leur portable depuis des bancs connectés alimentés par les fameuses dalles.

La station Seat Move de Pavegen réduit l’empreinte carbone des sites commerciaux

Pour le retail, Pavegen propose son installation clé en main, « Seat Move », alimentée par 32m 2 de dalles piézoélectriques, utilisables à l’intérieur et à l’extérieur. Les pavés sont fabriqués à 80 % à partir de matériaux recyclés, notamment des pneus de voiture ou de camion. Le toit de la station, lui, est constitué de 3 panneaux photovoltaïques qui alimentent le conteneur en énergie, permettant de réduire son empreinte carbone.

Chaque pas alimente une expérience

Au-delà de l’aspect durable de cette solution innovante, la technologie développée par Pavegen est un formidable moyen d’encourager l’engagement du consommateur. Chaque pas, en effet, vient alimenter une expérience ludique : déclenchement d’un écran d’affichage, d’une musique, d’un éclairage… Autant d’idées qui peuvent être déclinées pour créer du lien et de l’interactivité avec le visiteur. Grâce aux capteurs intégrés aux pavés, Pavegen fournit par ailleurs des statistiques sur l’énergie générée et sur la fréquentation du site. Chaque pas peut également être converti en monnaie numérique, associée à un programme de fidélisation. Le centre commercial The Mercury à Londres se vante ainsi d’avoir augmenté le taux d’engagement sur son site de 15 % à la suite de l’implantation des pavés.
On n’aurait jamais cru que marcher ouvre autant de potentiel ! Une technologie innovante, qu’ACCESSITE entend suivre de près.

Toopi organics : l’urine, le nouvel or jaune ?

Savez-vous que l’être humain produit en moyenne 1 litre d’urine par jour ? Les visiteurs des centres commerciaux aussi ! La start-up française Toopi Organics propose d’utiliser cette ressource illimitée pour la transformer en engrais écologique au service d’une agriculture durable.

Recycler et transformer l’urine humaine en engrais naturel

Chaque année, plus de 18 millions de tonnes d’engrais minéraux sont utilisées en Europe. Un usage qui rend notre agriculture dépendante de l’importation et des produits peu écologiques, dont la fabrication est étroitement liée à l’exploitation de ressources non renouvelables. Dans le même temps, la gestion de l’urine est, quant à elle, un problème mondial. En Europe, pas moins de 6 000 milliards de litres d’eau potable sont souillés tous les ans par 200 milliards de litres d’urine. Un phénomène qui génère des coûts importants, sur le plan écologique et économique.

Toopi Organics, start-up française installée à Loupiac de La Réole, est née de ce double constat. Sa proposition, insolite, est la suivante : arrêter de considérer l’urine comme undéchet, pour la voir comme une ressource !

Collecter l’urine : des solutions simples à mettre en place

Riche en azote, en phosphore et en potassium, l’urine humaine constitue en effet un excellent engrais naturel. Pour ne plus gaspiller cette ressource précieuse, Toopi Organics a mis au point une solution innovante pour sa collecte, sa transformation et sa valorisation en solutions agricoles. Le potentiel est extraordinaire ! Non seulement le processus développé par l’entreprise offre une alternative efficace et écologique aux engrais chimiques, mais il génère aussi des économies conséquentes en réduisant, notamment, l’utilisation des chasses d’eau.

Testée et brevetée au sein de l’école d’ingénieurs Purpan de Toulouse, la technologie de Toopi Organics repose en effet sur un système de collecte séparatif, sans eau, via des cuves.
Un dispositif simple et peu coûteux à mettre en place, y compris dans les centres commerciaux : pour participer à ce système écoresponsable, il suffit d’installer des urinoirs féminins et masculins équipés de cuves de récupération.

Participer activement à un modèle circulaire et zéro déchet

L’urine collectée est ensuite transportée à 150 km au maximum du point de collecte vers une unité de transformation, puis distribuée dans les zones rurales. Un processus lowtech et en circuit court, sans aucun déchet, à l’énorme potentiel : à l’échelle européenne, ce sont 6 000 milliards de litres d’eau potable qui sont économisés par an grâce à cette technologie, et des milliards de litres d’urines valorisées au service d’une agriculture durable et résiliente !

Vacance commerciale : que faire de tous ces m 2  ?

Depuis la crise sanitaire, la vacance, qui dépassait déjà les 10 % dans les centres commerciaux, a nettement progressé, passant de 11,8 % en 2019 à 14 % en 2022*. Une situation qui conduit aujourd’hui les bailleurs et gestionnaires d’actifs retail à se tourner davantage vers les baux dérogatoires. Une solution qui, si elle ne peut être que provisoire, présente toutefois des avantages non négligeables.

Des marques de grande consommation dans la tourmente

Après la Covid-19 et aujourd’hui avec l’inflation, les grandes enseignes/marques souffrent. Beaucoup d’entre elles paient leur manque d’adaptation à de nouveaux modes de consommation, qui se sont fortement accélérés ces dernières années.

Au sein des grandes marques et enseignes de prêt-à-porter, mais aussi chez les distributeurs
spécialisés, c’est l’hécatombe depuis le début de l’année. Qu’elles aient mis la clé sous la porte, aient été rachetées ou placées en redressement judiciaire, leur liste ne cesse de s’allonger : Gap France, San Marina, André, Go Sport, Kookaï, Camaïeu…

Au-delà des emplois détruits, c’est aussi un coup dur pour les centres commerciaux, dans lesquels ces grandes enseignes sont particulièrement bien implantées et louent de nombreux m 2 . Que faire de toute cette vacance en attendant de retrouver un remplaçant ou un concept pérenne, afin de limiter la perte de valeur locative tout en préservant l’attractivité du site ?

Le bail dérogatoire : une solution à adopter

Le recours aux baux dérogatoire apparait aujourd’hui comme l’option la plus suivie par les bailleurs et gestionnaires d’actifs retail de petite et moyenne tailles ; les grands centres ayant moins de difficulté à combler leur vacance. Ces dispositifs présentent de nombreux avantages pour eux :

  • Profiter d’un délai de commercialisation de courte durée, sans contractualisation
  • Attirer une nouvelle population en proposant des commerces ou animations
    originaux et moins commerciaux.
  • Evénementialiser le centre et communiquer sur des actions différentes et
    différenciantes.
  • Occuper les cellules toute l’année et ainsi maintenir l’attractivité du centre

« Il n’y a rien de plus déprimant pour le visiteur d’une galerie marchande ou un centre
commercial que de longer des malls aux boutiques fermées. Le gestionnaire du centre doit
tout faire pour éviter de voir se multiplier les panneaux ‘à louer’ »,

confirme Katell Stansfield Directrice de la commercialisation chez ACCESSITE.

Quel dispositif pour combler la vacance commerciale ?

Comment, dès lors, bien choisir les commerces ou animations qui viendront prendre place pour quelques jours, semaines ou mois dans le centre ? Il faudra bien sûr tenir compte de l’environnement du site, comprendre les attentes des visiteurs et de la population de manière plus globale.

Ce bail dérogatoire pourra être proposé à un commerçant local, une association, une entreprise de service, n’ayant pas les moyens de s’installer à l’année dans un tel lieu. Des pure players peuvent également en profiter pour y ouvrir une boutique éphémère, afin de créer l’événement autour de leur marque et rencontrer leur public. Certaines le font dans l’optique de tester un concept en vue du développement d’un futur réseau physique.

« Il est important de faire preuve d’anticipation dans ce domaine. Le rôle de
commercialisateur est de disposer d’une liste adaptée au centre d’enseignes, de
commerçants, d’associations ou d’artistes, intéressés par cette vacance, pour garantir une
occupation constante, tout en cherchant en parallèle, des enseignes/concepts plus
pérennes »,

précise Katell Stansfield.

Profiter de la vacance commerciale pour réaffirmer son rôle dans la société

Ce bail dérogatoire est aussi l’occasion de travailler l’image du centre commercial. De lui offrir un visage dans l’air du temps, en phase avec les attentes des citoyens et consommateurs d’aujourd’hui et de demain !

C’est ainsi que, pour combler un espace vacant de plus de 300 m 2 , le centre de Rosny-Sous-Bois (93) s’est associé à Pôle emploi pour un projet expérimental inédit : un tiers lieu high-tech pour les chercheurs d’emploi, qui a déjà aidé plus de 7 000 personnes !

Yookan, c’est son nom, se présente comme un espace d’innovation, gratuit et dédié à l’insertion professionnelle. Ce parcours entremêle équipements high-tech (casques VR, simulateurs…) et divertissements, permettant d’explorer différents métiers qui recrutent. Le demandeur d’emploi dispose à la sortie d’une liste de petites annonces proposant des immersions sous forme de stages d’observation dans des entreprises, pour approfondir son intérêt pour une profession en particulier.

« Des expérimentations comme celles menées à Rosny-Sous-Bois sont extrêmement valorisantes pour le centre commercial. Ces lieux sont souvent associés à un modèle purement capitalistique ; le fameux temple de la consommation. En créant un tel espace, le centre de Rosny-Sous-Bois démontre le rôle actif qu’il veut jouer au niveau local en répondant à une problématique sociale. Il joue ainsi pleinement son rôle d’acteur de la cité. En termes d’image, c’est extrêmement positif », constate Katell Stansfield.

Une valeur plus immatérielle qui va dans le sens de l’histoire

Un centre commercial peut aussi rebondir sur la tendance de la consommation durable, en faisant venir des associations comme Emmaüs proposant des produits de seconde main solidaires ou encore inviter des artistes créatifs et innovants pour imaginer des déambulations insolites.
Demain, ces espaces pourront retrouver des locataires plus traditionnels, mais aussi, dans cette idée d’être davantage un lieu de vie que de consommation, accueillir de nouvelles activités, telles que : salles de sport, coiffeurs, cabinets paramédicaux, espaces de coworking…
Des « commerces » de centre-ville driveront une nouvelle population et apporteront avec ceux tout un écosystème de services inédits dans le centre commercial. Cette évolution vers un lieu toujours plus hybride, logique et cohérente avec les attentes de consomm’acteurs, s’observe déjà et devrait se renforcer dans les prochaines années.


ACCESSITE lui consacre d’ailleurs un chapitre entier dans son livre blanc : « Le Centre Commercial en 2030 », à télécharger gratuitement ici !

*Étude Procos données Codata 2022

Découvrez les promesses du centre commercial de demain !

Découvrez les promesses du centre commercial de demain dans cet article (un grand merci à Mirabelle Belloir pour son travail) captivant !  👏

  • Les lieux de shopping évoluent et se transforment pour répondre aux attentes sociales, sociétales et environnementales : Ils demeurent des espaces conviviaux, mais avec une offre repensée ! 💡
  • Les centres commerciaux de demain s’ouvriront davantage, s’intégrant harmonieusement à leur environnement. Ils s’adapteront aux nouvelles attentes des consommateurs en proposant des services et des espaces d’interaction.
  • Les chiffres démontrent que ces lieux rebondissent après la crise, avec une augmentation du chiffre d’affaires et du trafic. Les investisseurs restent confiants et les centres commerciaux deviennent des lieux d’expérience et de partage. 📈
  • Face aux changements de société, ils s’adaptent rapidement en diversifiant leurs sources de revenus et en favorisant l’économie circulaire. Le local devient un axe de différenciation important.
  • L’engagement en faveur de l’environnement est au cœur de leurs préoccupations. Ils adoptent des pratiques plus durables et cherchent à réduire leur empreinte écologique. 🌱
  • Le futur des espaces commerciaux se dessine avec des offres diversifiées, une place prépondérante accordée à la restauration et des espaces de loisirs. Ils resteront des lieux incontournables, adaptés aux besoins changeants des consommateurs.

Consultez l’article complet pour en savoir plus sur les perspectives passionnantes du centre commercial de demain !

https://www.lsa-conso.fr/les-promesses-du-centre-commercial-de-demain,438201

ACCESSITE livre sa vision du centre commercial en 2030 dans un livre blanc événement ! 

ACCESSITE livre sa vision du centre commercial en 2030 dans un livre blanc événement ! 

ACCESSITE, partenaire privilégié de la valorisation des actifs commerciaux, publie son livre blanc événement : « Le centre commercial en 2030 ». Sur près de 100 pages, cette enquête fouillée et documentée réunit les analyses des experts, les chiffres clés et les cas d’usage, pour tracer les lignes du centre commercial de demain. L’échelle de temps choisie, 2030, est à la fois proche et lointaine, autorisant toutes les perspectives sans tomber dans le fantasme. Ce livre blanc passionnera celles et ceux qui s’intéressent au retail ou sont directement concernés par son avenir.

Le retail : un secteur en pleine mutation

Le monde du retail a été profondément bouleversé par la pandémie de Covid-19. Face à la fermeture des magasins et à l’explosion du commerce en ligne, certains observateurs ont annoncé la fin du centre commercial et du commerce physique en général. Cependant, dès que les portes des enseignes ont été rouvertes, les consommateurs sont revenus en nombre, faisant taire les Cassandre. Rien ne remplace, en effet, le plaisir de toucher, de sentir et de se retrouver.

Cependant, il est désormais nécessaire de donner aux consommateurs de bonnes raisons de se déplacer. Pour répondre à ces nouvelles attentes, le centre commercial doit se réinventer en profondeur, avec une offre plus diversifiée et davantage axée sur l’expérience. Les centres commerciaux doivent redevenir des lieux attractifs pour les consommateurs, en proposant des espaces de bien-être et de culture, et en étant des acteurs de la cité.

Les experts se penchent sur le centre commercial de demain

C’est dans ce contexte qu’ACCESSITE a réalisé un livre blanc prospectif, agrégeant la vision des plus grands experts du retail, qui ont accepté avec plaisir de se prêter à cet exercice à la fois complexe et passionnant : imaginer le centre commercial de 2030. 

Parmi ceux qui ont contribué à cette projection, on retrouve Vincent Desruelles, directeur d’études chez Xerfi ; Anthony Mahé, sociologue Ph.D, associé-directeur de la Connaissance ; Vincent Philippe, urbaniste spécialisé « ville et loisirs » et fondateur de funfaircity.fr ; Emilie Baron et Maeva Lasmer, respectivement chef de projet et directrice du Pôle Innovation Retail chez MMM ; Dan Otmezguine, Directeur général de Stories Designed for Consumers, Christophe Noël ; délégué Général de la Fédération des acteurs du commerce dans les territoires (ex-CNCC) ; Séverine Longuet, directrice du conseil au sein du pôle Retail Expertise d’ACCESSITE et Emmanuel Le Roch, Délégué Général du Procos, entre autres.

Le centre commercial de demain : quatre grandes tendances qui se dessinent

Le livre blanc ACCESSITE s’organise autour de 4 grandes parties, pour dessiner les grandes caractéristiques d’un centre commercial performant en 2030 :

Partie 1 : Un haut lieu stratégique de l’expérience

La première partie du livre blanc d’Accessite explore le futur des centres commerciaux en tant que « lieux d’expérience » plutôt que simples espaces de vente au détail. Selon les experts, ils deviendront des lieux hybrides où les consommateurs chercheront des expériences uniques et inoubliables, plutôt que des biens matériels. En conséquence, les centres commerciaux devront se réinventer en tant que destinations de choix pour les consommateurs, en leur offrant des expériences novatrices, des offres de restauration attrayantes et des activités de divertissement en constante évolution.

Ils devront également mettre en œuvre une refonte complète de leur modèle économique pour répondre à ces nouvelles attentes. Cela inclut l’adaptation des espaces de vente et des zones communes, la mise en place de technologies innovantes pour améliorer l’expérience client, ainsi que l’introduction de nouvelles formes de marketing et de publicité pour promouvoir ces offres d’expérience.

Partie 2 : Un centre ouvert sur la ville et acteur de la cité

Dans cette seconde partie du livre blanc, ACCESSITE concentre son analyse sur l’importance pour les centres commerciaux de se réinventer en tant qu’acteurs de la cité, afin de renforcer les liens sociaux et de créer un environnement plus durable. Les centres commerciaux doivent ainsi devenir des espaces hybrides offrant plus que de simples biens matériels pour devenir des lieux qui encouragent la collectivité, où les clients peuvent socialiser, se divertir et se connecter avec leur ville.

Pour y parvenir, les centres commerciaux devront se réinventer en tant que partenaires de la cité et collaborer avec les autorités locales pour créer des espaces publics plus accueillants et durables. Cela inclut l’intégration de la nature et des espaces verts dans la conception de nouveaux centres commerciaux, la promotion de l’art et de la culture, ainsi que la création d’espaces publics qui encouragent la participation de la communauté locale.

Partie 3 : Un lieu soutenable

La prise de conscience environnementale grandissante et l’urgence climatique ont entraîné une remise en question du modèle de consommation actuel. Le secteur du commerce n’est pas épargné, et les centres commerciaux sont devenus la cible fréquente de critiques en raison de leur impact environnemental.

Dans cette 3e partie, les experts explorent les différentes pistes pour rendre les centres commerciaux plus soutenables. La sobriété énergétique, la réduction de l’empreinte carbone et la gestion des déchets sont autant de défis à relever. Des initiatives ont déjà été mises en place, comme l’utilisation de panneaux solaires pour alimenter les centres commerciaux, l’installation de stations de recharge pour véhicules électriques et l’adoption de pratiques de construction durables.

Le livre blanc aborde également la question de la sensibilisation des consommateurs à l’environnement. Les centres commerciaux peuvent jouer un rôle important en éduquant leurs visiteurs sur les pratiques écologiques et en leur offrant des options plus respectueuses de l’environnement, comme des produits durables et écoresponsables.

Partie 4 : Un centre phygital

Enfin, la dernière partie du livre blanc analyse l’évolution des centres commerciaux vers un modèle plus phygital, combinant les avantages du commerce physique et du e-commerce. Ces lieux sont en effet de plus en plus confrontés à la concurrence du shopping en ligne et doivent s’adapter pour rester pertinents.

Dans son livre blanc, ACCESSITE évoque notamment les différentes façons dont les centres commerciaux peuvent utiliser les technologies numériques pour améliorer l’expérience de leurs visiteurs. Des options telles que les commandes en ligne avec retrait en magasin, les réalités augmentées pour la visualisation de produits, et les chatbots pour l’assistance à la clientèle sont autant de moyens pour les centres commerciaux de se différencier.

En conclusion, « Le centre commercial en 2030 » est un livre blanc essentiel pour quiconque s’intéresse au secteur du commerce de détail et aux centres commerciaux en particulier. Les experts ayant contribué à ce livre blanc fournissent des analyses approfondies et des prévisions de tendances qui permettent de comprendre comment les centres commerciaux évolueront au cours des prochaines années. Avec l’essor des technologies numériques, la prise de conscience environnementale et les attentes changeantes des consommateurs, les centres commerciaux sont confrontés à de nouveaux défis et à de nouvelles opportunités pour se réinventer. Ce livre blanc fournit ainsi un aperçu de la façon dont ces lieux peuvent tirer parti de ces tendances pour prospérer dans l’avenir.

Enfin, pour aller plus loin, ACCESSITE propose également un tour du monde des centres commerciaux les plus avant-gardistes, pour inspirer autant qu’étonner.

Téléchargez gratuitement « Le centre commercial en 2030 » et découvrez les prévisions les plus crédibles concernant le futur du retail.

Excursio : une expérience immersive unique à Nancy Saint-Sébastien 

Quand l’art s’invite au cœur du centre commercial

Le monde du retail se réinvente sans cesse pour surprendre et divertir les consommateurs. À Nancy Saint Sébastien, c’est autour de l’art numérique que le centre commercial invite les visiteurs à vivre une expérience inédite : Excursio, exposition immersive et envoûtante de l’artiste Parse/Error, prend ses quartiers au cœur du site, en collaboration avec Art point et la cellule d’innovation d’ACCESSITE, ZION.

Art et commerce : un duo innovant à la conquête des publics

Historiquement reconnu comme un acteur central de la ville de Nancy et de sa région, le centre commercial Nancy San Sébastien affirme, de plus en plus, son parti-pris digital. Porté par le propriétaire majoritaire de l’actif AEW et piloté par Accessite, le site avait déjà choisi le numérique, l’an dernier, pour animer la rénovation de son passage Saint-Thibault. Une manière d’offrir une expérience inédite et attractive à ses visiteurs, et d’enrichir leurs parcours-client.

En 2023, le centre lorrain persiste et signe : il invite l’artiste Parse/Error à investir les lieux avec son exposition immersive Excursio. Un projet d’envergure témoignant une nouvelle fois de la volonté du centre commercial de s’ouvrir aux nouveaux modes d’expression, en accueillant la culture au cœur de ses allées. 

Interactivité et réalité virtuelle : une formidable porte d’entrée vers l’art numérique

À Nancy Saint Sébastien, Parse/Error (de son vrai nom, Fabien Bouchard) dévoile une double proposition :  une pièce immersive, d’une part, plongeant le spectateur au cœur de l’univers de l’artiste, et une installation interactive, de l’autre, entremêlant frontières réelles et virtuelles. Excursio est ainsi une invitation à un voyage contemplatif, poétique et hors du temps. Son intitulé, en latin, signifie d’ailleurs « s’aventurer vers un lieu éloigné ». Et c’est précisément l’expérience que propose le centre commercial à ses visiteurs, avec cette exposition.

Survoler un désert, déambuler dans un labyrinthe de câbles ou se laisser flotter dans les nuages… Au cours de la déambulation, le spectateur expérimente une foule de sensations vertigineuses et surprenantes. Excursio le transporte dans un monde imaginaire, mêlant paysages oniriques et abstractions hypnotisantes. Ici, les repères classiques se brouillent pour questionner notre rapport au monde.  Organique et minéral, nature et artificiel, numérique et physique : tout s’inscrit dans une nouvelle dimension, plus grandiose. Une expérience unique, qui permet de déconnecter et de lâcher prise.

Créativité et expertise digitale : comment réenchanter les espaces

Derrière cette installation envoûtante, se trouve l’expertise d’un spécialiste de l’art digital, Art Point, une start-up identifiée par la cellule prospective d’ACCESSITE, ZION, qui source les concepts les plus novateurs dans le retail et se veut une vraie force de proposition pour enrichir l’expérience des actifs commerciaux de ses clients. Cette plate-forme numérique s’est donnée pour mission de soutenir les meilleurs artistes du monde entier, afin de démocratiser l’accès à l’art. Elle fédère aujourd’hui une communauté de 300 artistes numériques et internationaux. Son catalogue, allant de la 3D à l’art génératif en passant par la photogrammétrie, rassemble plus de 4 000 œuvres d’art. C’est elle qui signe la curation d’Excursio, à Saint Sébastien Nancy.  

Comme à son habitude, Art Point a imaginé un projet sur mesure, spécifiquement adapté à ce lieu de retail, pour enrichir l’expérience offerte au public. Mixant habilement art et technologie, l’acteur redéfinit le champ des possibles, et l’étend à l’infini.

En venant visiter Excursio à Nancy, c’est donc la réunion de 3 pépites du monde de demain que les visiteurs sont invités à découvrir :  l’artiste Parse/Error, la plate-forme numérique Artpoint, et le centre commercial Saint-Sébastien.  Des acteurs déterminés, tous 3, à tenter les expériences les plus innovantes pour rendre l’art plus accessible à tous. 

Kabin invente le Micro-Working avec ses bulles de travail connectées

Kabin révolutionne le concept de flex office en proposant des bulles de travail connectées, confortables et sécurisées, adaptées à la mobilité professionnelle. Découvrez comment ces espaces modulables transforme notre expérience du travail et s’invitent déjà chez les retailers.

Une start-up innovante dans l’univers du flex office

Créée en janvier 2018, la start-up Kabin a rapidement gagné en popularité grâce à ses premières installations dans des Monoprix. Son innovation repose sur la conception de bulles de travail connectées qui peuvent accueillir jusqu’à 4 personnes, offrant un espace de travail confortable, confidentiel et sécurisé.

Pour le travail en mobilité : des atouts indéniables 

Les bulles Kabin sont équipées de technologies permettant une connexion Wi-Fi haut débit et sécurisée. Elles sont insonorisées pour offrir une véritable déconnexion sonore et sont accessibles grâce à une application mobile dédiée en seulement trois clics.

Offrir au télétravailleur, un environnement sain et protégé

La sécurité sanitaire est plus importante que jamais. Les bulles Kabin sont dotées d’un filtre à air UVA pour éradiquer les microbes présents dans l’air, et leurs surfaces sont traitées avec des solutions virucides (Nanoprotec*) pour garantir un environnement sain et sécurisé.

Le Flex office agile grâce au Click & Work

Kabin simplifie l’expérience de travail en déplacement en mettant fin aux problèmes de recherche de prises électriques, d’utilisation de filtres de confidentialité sur les écrans et de connexion Wi-Fi non sécurisée. Grâce à sa solution Click & Work, les utilisateurs bénéficient d’un espace de travail insonorisé, confortable et sécurisé accessible depuis l’application mobile dédiée.

Un atout pour les centres commerciaux

En proposant ces espaces de travail innovants, les centres commerciaux pourraient attirer une clientèle professionnelle qui profite de la proximité des commerces et services pendant leurs pauses ou après leur journée de travail. Les bulles Kabin sont l’occasion de diversifier offre de services tout en se positionnant comme des acteurs clés de la mobilité professionnelle. En outre, l’installation de ces bulles connectées favorise l’image moderne et dynamique des centres commerciaux, qui sont ainsi perçus comme des lieux à la pointe de l’innovation et du bien-être au travail.

Envie d’en savoir plus ? https://kabin.fr/ 

Vendôme Robotics : Quand la technologie réinvente la restauration healthy

Vendôme Robotics révolutionne le concept de restauration en mettant l’accent sur la santé et le bien-être. En combinant l’expertise de chefs de renom français et l’interaction avec des robots, la start-up propose une expérience culinaire unique qui permet de prendre soin de soi, tout en savourant des plats à la fois délicieux et sains.

Un concept centré sur la santé et le bien-être

L’ADN de Vendôme Robotics repose sur l’idée de consommer régulièrement des potions et breuvages naturels créés sur place par des robots. Ces boissons peuvent être personnalisées selon les besoins de chaque client en y ajoutant des vitamines, des huiles essentielles, etc. Le but est de créer un rendez-vous régulier pour entretenir sa vitalité et se restaurer de manière saine.

Une offre adaptée à tous les moments de la journée

La carte, conçue par des chefs français de renom, propose une offre de plats healthy tout au long de la journée, du petit déjeuner au dîner, en passant par le goûter et l’after. De plus, elle s’adapte parfaitement à une clientèle de bureaux et de touristes pressés, grâce à un temps de commande très court.

L’interaction entre les robots et les clients

Vendôme Robotics se positionne comme un véritable laboratoire du bien-être, qui allie les bienfaits de l’alimentation sur l’organisme et l’expérience client, grâce à une interaction inédite avec des robots. Ces derniers maîtrisent l’art du mouvement et le savoir-faire d’un chef, dans une gestuelle fluide et précise. Leurs bras mécaniques versent les ingrédients avec une délicatesse surprenante, créant un véritable spectacle pour les clients.

Une collaboration harmonieuse entre l’homme et la machine

La collaboration entre l’homme et la machine est au cœur de l’expérience Vendôme Robotics. Le robot dépose délicatement le verre dans la main du client, lui offrant ainsi sa première interaction avec une machine intelligente. De plus, ce concept permet d’éviter tout contact physique avec le barman, répondant ainsi aux nouvelles exigences de sécurité sanitaire.

Commande et personnalisation via une carte interactive

Les clients ont la possibilité de commander depuis une carte interactive, rendant l’expérience encore plus immersive et personnalisée. Vendôme Robotics combine ainsi plaisir gustatif et expérience innovante pour offrir un moment inoubliable aux amateurs de cuisine saine et de technologie de pointe.

Découvrez le concept : https://www.vendome-robotics.com/