ACCESSITE livre sa vision du centre commercial en 2030 dans un livre blanc événement ! 

ACCESSITE livre sa vision du centre commercial en 2030 dans un livre blanc événement ! 

ACCESSITE, partenaire privilégié de la valorisation des actifs commerciaux, publie son livre blanc événement : « Le centre commercial en 2030 ». Sur près de 100 pages, cette enquête fouillée et documentée réunit les analyses des experts, les chiffres clés et les cas d’usage, pour tracer les lignes du centre commercial de demain. L’échelle de temps choisie, 2030, est à la fois proche et lointaine, autorisant toutes les perspectives sans tomber dans le fantasme. Ce livre blanc passionnera celles et ceux qui s’intéressent au retail ou sont directement concernés par son avenir.

Le retail : un secteur en pleine mutation

Le monde du retail a été profondément bouleversé par la pandémie de Covid-19. Face à la fermeture des magasins et à l’explosion du commerce en ligne, certains observateurs ont annoncé la fin du centre commercial et du commerce physique en général. Cependant, dès que les portes des enseignes ont été rouvertes, les consommateurs sont revenus en nombre, faisant taire les Cassandre. Rien ne remplace, en effet, le plaisir de toucher, de sentir et de se retrouver.

Cependant, il est désormais nécessaire de donner aux consommateurs de bonnes raisons de se déplacer. Pour répondre à ces nouvelles attentes, le centre commercial doit se réinventer en profondeur, avec une offre plus diversifiée et davantage axée sur l’expérience. Les centres commerciaux doivent redevenir des lieux attractifs pour les consommateurs, en proposant des espaces de bien-être et de culture, et en étant des acteurs de la cité.

Les experts se penchent sur le centre commercial de demain

C’est dans ce contexte qu’ACCESSITE a réalisé un livre blanc prospectif, agrégeant la vision des plus grands experts du retail, qui ont accepté avec plaisir de se prêter à cet exercice à la fois complexe et passionnant : imaginer le centre commercial de 2030. 

Parmi ceux qui ont contribué à cette projection, on retrouve Vincent Desruelles, directeur d’études chez Xerfi ; Anthony Mahé, sociologue Ph.D, associé-directeur de la Connaissance ; Vincent Philippe, urbaniste spécialisé « ville et loisirs » et fondateur de funfaircity.fr ; Emilie Baron et Maeva Lasmer, respectivement chef de projet et directrice du Pôle Innovation Retail chez MMM ; Dan Otmezguine, Directeur général de Stories Designed for Consumers, Christophe Noël ; délégué Général de la Fédération des acteurs du commerce dans les territoires (ex-CNCC) ; Séverine Longuet, directrice du conseil au sein du pôle Retail Expertise d’ACCESSITE et Emmanuel Le Roch, Délégué Général du Procos, entre autres.

Le centre commercial de demain : quatre grandes tendances qui se dessinent

Le livre blanc ACCESSITE s’organise autour de 4 grandes parties, pour dessiner les grandes caractéristiques d’un centre commercial performant en 2030 :

Partie 1 : Un haut lieu stratégique de l’expérience

La première partie du livre blanc d’Accessite explore le futur des centres commerciaux en tant que « lieux d’expérience » plutôt que simples espaces de vente au détail. Selon les experts, ils deviendront des lieux hybrides où les consommateurs chercheront des expériences uniques et inoubliables, plutôt que des biens matériels. En conséquence, les centres commerciaux devront se réinventer en tant que destinations de choix pour les consommateurs, en leur offrant des expériences novatrices, des offres de restauration attrayantes et des activités de divertissement en constante évolution.

Ils devront également mettre en œuvre une refonte complète de leur modèle économique pour répondre à ces nouvelles attentes. Cela inclut l’adaptation des espaces de vente et des zones communes, la mise en place de technologies innovantes pour améliorer l’expérience client, ainsi que l’introduction de nouvelles formes de marketing et de publicité pour promouvoir ces offres d’expérience.

Partie 2 : Un centre ouvert sur la ville et acteur de la cité

Dans cette seconde partie du livre blanc, ACCESSITE concentre son analyse sur l’importance pour les centres commerciaux de se réinventer en tant qu’acteurs de la cité, afin de renforcer les liens sociaux et de créer un environnement plus durable. Les centres commerciaux doivent ainsi devenir des espaces hybrides offrant plus que de simples biens matériels pour devenir des lieux qui encouragent la collectivité, où les clients peuvent socialiser, se divertir et se connecter avec leur ville.

Pour y parvenir, les centres commerciaux devront se réinventer en tant que partenaires de la cité et collaborer avec les autorités locales pour créer des espaces publics plus accueillants et durables. Cela inclut l’intégration de la nature et des espaces verts dans la conception de nouveaux centres commerciaux, la promotion de l’art et de la culture, ainsi que la création d’espaces publics qui encouragent la participation de la communauté locale.

Partie 3 : Un lieu soutenable

La prise de conscience environnementale grandissante et l’urgence climatique ont entraîné une remise en question du modèle de consommation actuel. Le secteur du commerce n’est pas épargné, et les centres commerciaux sont devenus la cible fréquente de critiques en raison de leur impact environnemental.

Dans cette 3e partie, les experts explorent les différentes pistes pour rendre les centres commerciaux plus soutenables. La sobriété énergétique, la réduction de l’empreinte carbone et la gestion des déchets sont autant de défis à relever. Des initiatives ont déjà été mises en place, comme l’utilisation de panneaux solaires pour alimenter les centres commerciaux, l’installation de stations de recharge pour véhicules électriques et l’adoption de pratiques de construction durables.

Le livre blanc aborde également la question de la sensibilisation des consommateurs à l’environnement. Les centres commerciaux peuvent jouer un rôle important en éduquant leurs visiteurs sur les pratiques écologiques et en leur offrant des options plus respectueuses de l’environnement, comme des produits durables et écoresponsables.

Partie 4 : Un centre phygital

Enfin, la dernière partie du livre blanc analyse l’évolution des centres commerciaux vers un modèle plus phygital, combinant les avantages du commerce physique et du e-commerce. Ces lieux sont en effet de plus en plus confrontés à la concurrence du shopping en ligne et doivent s’adapter pour rester pertinents.

Dans son livre blanc, ACCESSITE évoque notamment les différentes façons dont les centres commerciaux peuvent utiliser les technologies numériques pour améliorer l’expérience de leurs visiteurs. Des options telles que les commandes en ligne avec retrait en magasin, les réalités augmentées pour la visualisation de produits, et les chatbots pour l’assistance à la clientèle sont autant de moyens pour les centres commerciaux de se différencier.

En conclusion, « Le centre commercial en 2030 » est un livre blanc essentiel pour quiconque s’intéresse au secteur du commerce de détail et aux centres commerciaux en particulier. Les experts ayant contribué à ce livre blanc fournissent des analyses approfondies et des prévisions de tendances qui permettent de comprendre comment les centres commerciaux évolueront au cours des prochaines années. Avec l’essor des technologies numériques, la prise de conscience environnementale et les attentes changeantes des consommateurs, les centres commerciaux sont confrontés à de nouveaux défis et à de nouvelles opportunités pour se réinventer. Ce livre blanc fournit ainsi un aperçu de la façon dont ces lieux peuvent tirer parti de ces tendances pour prospérer dans l’avenir.

Enfin, pour aller plus loin, ACCESSITE propose également un tour du monde des centres commerciaux les plus avant-gardistes, pour inspirer autant qu’étonner.

Téléchargez gratuitement « Le centre commercial en 2030 » et découvrez les prévisions les plus crédibles concernant le futur du retail.

Excursio : une expérience immersive unique à Nancy Saint-Sébastien 

Quand l’art s’invite au cœur du centre commercial

Le monde du retail se réinvente sans cesse pour surprendre et divertir les consommateurs. À Nancy Saint Sébastien, c’est autour de l’art numérique que le centre commercial invite les visiteurs à vivre une expérience inédite : Excursio, exposition immersive et envoûtante de l’artiste Parse/Error, prend ses quartiers au cœur du site, en collaboration avec Art point et la cellule d’innovation d’ACCESSITE, ZION.

Art et commerce : un duo innovant à la conquête des publics

Historiquement reconnu comme un acteur central de la ville de Nancy et de sa région, le centre commercial Nancy San Sébastien affirme, de plus en plus, son parti-pris digital. Porté par le propriétaire majoritaire de l’actif AEW et piloté par Accessite, le site avait déjà choisi le numérique, l’an dernier, pour animer la rénovation de son passage Saint-Thibault. Une manière d’offrir une expérience inédite et attractive à ses visiteurs, et d’enrichir leurs parcours-client.

En 2023, le centre lorrain persiste et signe : il invite l’artiste Parse/Error à investir les lieux avec son exposition immersive Excursio. Un projet d’envergure témoignant une nouvelle fois de la volonté du centre commercial de s’ouvrir aux nouveaux modes d’expression, en accueillant la culture au cœur de ses allées. 

Interactivité et réalité virtuelle : une formidable porte d’entrée vers l’art numérique

À Nancy Saint Sébastien, Parse/Error (de son vrai nom, Fabien Bouchard) dévoile une double proposition :  une pièce immersive, d’une part, plongeant le spectateur au cœur de l’univers de l’artiste, et une installation interactive, de l’autre, entremêlant frontières réelles et virtuelles. Excursio est ainsi une invitation à un voyage contemplatif, poétique et hors du temps. Son intitulé, en latin, signifie d’ailleurs « s’aventurer vers un lieu éloigné ». Et c’est précisément l’expérience que propose le centre commercial à ses visiteurs, avec cette exposition.

Survoler un désert, déambuler dans un labyrinthe de câbles ou se laisser flotter dans les nuages… Au cours de la déambulation, le spectateur expérimente une foule de sensations vertigineuses et surprenantes. Excursio le transporte dans un monde imaginaire, mêlant paysages oniriques et abstractions hypnotisantes. Ici, les repères classiques se brouillent pour questionner notre rapport au monde.  Organique et minéral, nature et artificiel, numérique et physique : tout s’inscrit dans une nouvelle dimension, plus grandiose. Une expérience unique, qui permet de déconnecter et de lâcher prise.

Créativité et expertise digitale : comment réenchanter les espaces

Derrière cette installation envoûtante, se trouve l’expertise d’un spécialiste de l’art digital, Art Point, une start-up identifiée par la cellule prospective d’ACCESSITE, ZION, qui source les concepts les plus novateurs dans le retail et se veut une vraie force de proposition pour enrichir l’expérience des actifs commerciaux de ses clients. Cette plate-forme numérique s’est donnée pour mission de soutenir les meilleurs artistes du monde entier, afin de démocratiser l’accès à l’art. Elle fédère aujourd’hui une communauté de 300 artistes numériques et internationaux. Son catalogue, allant de la 3D à l’art génératif en passant par la photogrammétrie, rassemble plus de 4 000 œuvres d’art. C’est elle qui signe la curation d’Excursio, à Saint Sébastien Nancy.  

Comme à son habitude, Art Point a imaginé un projet sur mesure, spécifiquement adapté à ce lieu de retail, pour enrichir l’expérience offerte au public. Mixant habilement art et technologie, l’acteur redéfinit le champ des possibles, et l’étend à l’infini.

En venant visiter Excursio à Nancy, c’est donc la réunion de 3 pépites du monde de demain que les visiteurs sont invités à découvrir :  l’artiste Parse/Error, la plate-forme numérique Artpoint, et le centre commercial Saint-Sébastien.  Des acteurs déterminés, tous 3, à tenter les expériences les plus innovantes pour rendre l’art plus accessible à tous. 

Kabin invente le Micro-Working avec ses bulles de travail connectées

Kabin révolutionne le concept de flex office en proposant des bulles de travail connectées, confortables et sécurisées, adaptées à la mobilité professionnelle. Découvrez comment ces espaces modulables transforme notre expérience du travail et s’invitent déjà chez les retailers.

Une start-up innovante dans l’univers du flex office

Créée en janvier 2018, la start-up Kabin a rapidement gagné en popularité grâce à ses premières installations dans des Monoprix. Son innovation repose sur la conception de bulles de travail connectées qui peuvent accueillir jusqu’à 4 personnes, offrant un espace de travail confortable, confidentiel et sécurisé.

Pour le travail en mobilité : des atouts indéniables 

Les bulles Kabin sont équipées de technologies permettant une connexion Wi-Fi haut débit et sécurisée. Elles sont insonorisées pour offrir une véritable déconnexion sonore et sont accessibles grâce à une application mobile dédiée en seulement trois clics.

Offrir au télétravailleur, un environnement sain et protégé

La sécurité sanitaire est plus importante que jamais. Les bulles Kabin sont dotées d’un filtre à air UVA pour éradiquer les microbes présents dans l’air, et leurs surfaces sont traitées avec des solutions virucides (Nanoprotec*) pour garantir un environnement sain et sécurisé.

Le Flex office agile grâce au Click & Work

Kabin simplifie l’expérience de travail en déplacement en mettant fin aux problèmes de recherche de prises électriques, d’utilisation de filtres de confidentialité sur les écrans et de connexion Wi-Fi non sécurisée. Grâce à sa solution Click & Work, les utilisateurs bénéficient d’un espace de travail insonorisé, confortable et sécurisé accessible depuis l’application mobile dédiée.

Un atout pour les centres commerciaux

En proposant ces espaces de travail innovants, les centres commerciaux pourraient attirer une clientèle professionnelle qui profite de la proximité des commerces et services pendant leurs pauses ou après leur journée de travail. Les bulles Kabin sont l’occasion de diversifier offre de services tout en se positionnant comme des acteurs clés de la mobilité professionnelle. En outre, l’installation de ces bulles connectées favorise l’image moderne et dynamique des centres commerciaux, qui sont ainsi perçus comme des lieux à la pointe de l’innovation et du bien-être au travail.

Envie d’en savoir plus ? https://kabin.fr/ 

Vendôme Robotics : Quand la technologie réinvente la restauration healthy

Vendôme Robotics révolutionne le concept de restauration en mettant l’accent sur la santé et le bien-être. En combinant l’expertise de chefs de renom français et l’interaction avec des robots, la start-up propose une expérience culinaire unique qui permet de prendre soin de soi, tout en savourant des plats à la fois délicieux et sains.

Un concept centré sur la santé et le bien-être

L’ADN de Vendôme Robotics repose sur l’idée de consommer régulièrement des potions et breuvages naturels créés sur place par des robots. Ces boissons peuvent être personnalisées selon les besoins de chaque client en y ajoutant des vitamines, des huiles essentielles, etc. Le but est de créer un rendez-vous régulier pour entretenir sa vitalité et se restaurer de manière saine.

Une offre adaptée à tous les moments de la journée

La carte, conçue par des chefs français de renom, propose une offre de plats healthy tout au long de la journée, du petit déjeuner au dîner, en passant par le goûter et l’after. De plus, elle s’adapte parfaitement à une clientèle de bureaux et de touristes pressés, grâce à un temps de commande très court.

L’interaction entre les robots et les clients

Vendôme Robotics se positionne comme un véritable laboratoire du bien-être, qui allie les bienfaits de l’alimentation sur l’organisme et l’expérience client, grâce à une interaction inédite avec des robots. Ces derniers maîtrisent l’art du mouvement et le savoir-faire d’un chef, dans une gestuelle fluide et précise. Leurs bras mécaniques versent les ingrédients avec une délicatesse surprenante, créant un véritable spectacle pour les clients.

Une collaboration harmonieuse entre l’homme et la machine

La collaboration entre l’homme et la machine est au cœur de l’expérience Vendôme Robotics. Le robot dépose délicatement le verre dans la main du client, lui offrant ainsi sa première interaction avec une machine intelligente. De plus, ce concept permet d’éviter tout contact physique avec le barman, répondant ainsi aux nouvelles exigences de sécurité sanitaire.

Commande et personnalisation via une carte interactive

Les clients ont la possibilité de commander depuis une carte interactive, rendant l’expérience encore plus immersive et personnalisée. Vendôme Robotics combine ainsi plaisir gustatif et expérience innovante pour offrir un moment inoubliable aux amateurs de cuisine saine et de technologie de pointe.

Découvrez le concept : https://www.vendome-robotics.com/ 

Le Métavers s’apprête-t-il à révolutionner le retail ?

« Meta », comme au-delà et « Vers », comme univers. Interagir au-delà de notre univers, c’est la promesse vertigineuse que nous lance le Metavers. Dans ce monde virtuel, on peut assister à des concerts, participer à des réunions d’affaires ou suivre des cours, par le biais de son avatar. Et si, demain, les consommateurs y faisaient aussi leur shopping ? Loin d’être une fiction, le marché du Métavers, dans son ensemble, est estimé à 5 000 milliards de dollars d’ici à 20301. Un potentiel gigantesque qui bouleversera, nécessairement, l’avenir du retail.

Une promesse balbutiante, mais bien réelle, pour le secteur du retail

En réalité, il n’existe pas un, mais plusieurs Métaverse, très différents les uns des autres. Leur point commun est d’être accessible via la technologie VR (réalité virtuelle), et de permettre d’interagir avec les autres personnes par le biais d’un avatar. Dans chacun d’eux, il est possible d’acheter un bâtiment, de créer des événements ou de vendre des objets virtuels. Les marques commencent donc à s’y intéresser de près, à l’instar de Nike ou Balenciaga, pour ne citer que ces deux exemples. Elles y développent des collaborations avec des jeux vidéo, ou encore y lancent des collections capsules de vêtements virtuels.

S’il fascine, l’avenir de ce méta-monde n’est pas pour autant encore tout à fait clair. La technologie, prometteuse, en est à un stade embryonnaire. Et, pour l’heure, le Metavers reste une destination de niche, privilégiée par les acteurs du gaming, de la culture ou du luxe, qui voient dans les NFT une parade intéressante à la contrefaçon. 

La démocratisation pourrait, néanmoins, venir très rapidement. Les progrès techniques avancent à la vitesse de la lumière et, du côté des consommateurs, l’engouement est là. Près de 60 % d’entre eux se déclarent enthousiaste à l’idée de la transposition de leurs activités quotidiennes dans le Métavers. Demain, c’est donc le retail qui risque bien d’y faire sa révolution. 

Une expérience-client décuplée

Tout concorde, en effet, pour faire de ce monde parallèle le futur terrain de jeu des acteurs du retail et, notamment, des centres commerciaux. La pandémie de la Covid-19 a accéléré le passage à la consommation numérique, modifiant les expériences et les attentes des consommateurs. Ces derniers sont en quête de rapidité, de personnalisation, d’émotions. Dans le même temps, la crise sanitaire a renforcé le besoin d’interaction humaine et a remis en lumière le sens de la communauté. Le Métavers répond à ces enjeux. Dans cet espace immersif, perpétuellement ouvert, les consommateurs peuvent créer des liens et interagir aussi facilement que dans le monde physique. 

Depuis le confort de son canapé, le client plonge en quelques clics au cœur de son magasin en 3D. Il déambule au sein des différents espaces et flâne en contemplant les vitrines. Envie d’une tenue en particulier ? En un clin d’œil, il est transporté dans la boutique et le rayon de son choix. Et, si un vêtement lui plaît, il n’a qu’à l’essayer dans la cabine virtuelle ! Comment rêver d’une meilleure omnicanalité ?

Au-delà de la simple duplication virtuelle des points de vente, l’expérience qui est offerte aux consommateurs se révèle très riche. Ces derniers peuvent bénéficier de promotions et privilèges personnalisés, orchestrés dans de puissantes stratégies marketing. On pourrait même aller jusqu’à imaginer des services d’assistants personnels pour enrichir encore l’expérience. Dans le Métavers, cette dernière n’est pas seulement augmentée, elle est littéralement décuplée !

Un bouleversement profond des stratégies marketing

Conscients de ce potentiel, certains acteurs du retail se sont déjà lancés dans l’aventure du Métavers. Ainsi, le groupe Casino a récemment débarqué sur The Sandbox pour y proposer des promotions et des bons d’achat, à utiliser dans le monde réel. Carrefour a, lui aussi, acheté une parcelle de terrain sur la même plate-forme, tandis que le magasin Le Printemps propose à ses clients son alter-ego, entièrement en 3D. Dans le domaine de la mode, des méta-collections voient le jour, telles « Lime Glam », disponible sur la plate-forme Zepeto. Ces vêtements sont conçus spécifiquement pour être portés dans le monde virtuel. Un nouveau choix s’ouvre aux clients, entre tenue physique ou numérique, et pourquoi pas les 2 ?

Le changement dans les habitudes de consommation est tel qu’il nécessitera, obligatoirement, une très grande adaptation chez les acteurs du retail. Pour profiter de l’extraordinaire potentiel du Métavers, ces derniers doivent acquérir de nouvelles compétences, telles que la conception de stratégies de marketing Web3. Ils devront aussi s’adapter à un nouvel état d’esprit, dont la tendance se dessine déjà sur les réseaux sociaux : la GenZ aime s’y créer une, voire plusieurs identités, à travers des personnages fictifs. La réalité y est déformée, les vies embellies. 

Cette tendance va s’amplifier encore dans le Métavers avec les avatars, qui donnent d’infinies possibilités en la matière. Un même consommateur aura ainsi, probablement, plusieurs personnas. Les stratégies marketing, quant à elles, seront donc nécessairement plus complexes. L’abondance des données générées par les utilisateurs à partir des casques VR permettra également aux marques de se rapprocher de leurs clients. Le consommateur, dans le même temps, aura plus de pouvoir. Demain, c’est lui qui créera la communication et les contenus. Et il sera rémunéré pour cela, en NFT ou dans le cadre de programmes de fidélité en cryptomonnaie !

Des possibilités qui ont de quoi donner le vertige. Une chose est sûre :  pour se saisir du potentiel offert par le Métavers, les acteurs du retail devront revoir, en profondeur, leur mindset !

Chat GPT : l’outil conversationnel qui s’apprête à révolutionner le retail !

Depuis son lancement en novembre 2022, Chat GPT connaît une popularité fulgurante. 5 jours seulement après sa création, il avait déjà atteint le million d’utilisateurs. Deux mois plus tard, ils étaient plus de 100 millions à l’avoir adopté. Cet outil conversationnel basé sur l’IA est capable de produire du texte naturel et de comprendre des requêtes complexes. Il sait tout écrire, ou presque : rédiger un mail, coder, donner et classer des arguments de vente adaptés à des publics ciblés. Des atouts qui en font un véritable allié des retailers pour améliorer l’expérience d’achat de leurs clients.

Chat GPT, un outil puissant pour le retail

Créé par l’entreprise américaine OpenAI, Chat GPT offre une multitude d’applications commerciales. Il peut aider les entreprises à générer des mots clés pour un meilleur référencement sur les sites de e-commerce. Il peut aussi fournir aux clients des recommandations d’achat plus personnalisées, répondre à des questions sur les produits et faciliter le processus commercial en utilisant l’IA pour comprendre leurs préférences et leurs habitudes de consommation. 

Et, ce n’est pas tout ! Chat GPT est aussi un formidable outil pour aider à générer des descriptions de produits ou encore rédiger des posts promotionnels destinés aux médias sociaux. Il sait aussi rédiger du code et automatiser le service client, via des chatbots capables de gérer les questions, quelle que soit leur formulation.

Chat GPT, un outil innovant, bientôt rejoint par des solutions concurrentes

S’il a ouvert la voie, Chat GPT ne restera pas longtemps le seul outil conversationnel du marché. Dans ce domaine, tout s’accélère. L’entreprise chinoise de commerce en ligne JD.com, a récemment annoncé qu’elle s’apprêtait à lancer une solution similaire. Andy Jassy, PDG d’Amazon, a quant à lui déclaré que son groupe travaillait depuis longtemps déjà sur un outil de ce type, lui aussi basé sur l’intelligence artificielle. Première solution à démocratiser réellement l’utilisation de l’IA, Chat GPT représente surtout une tendance émergente, qui ne fera que se renforcer dans les années à venir.

Chat GPT, un outil à perfectionner

Gain de temps et de productivité, amélioration de la satisfaction clients : Chat GPT offre un immense potentiel aux entreprises. Après le commerce en ligne, les acteurs du retail devraient eux aussi s’en emparer, de plus en plus. Toutefois, ils ne doivent pas oublier que cet outil n’est pas parfait. Chat GPT peut produire certaines erreurs, et si de trop nombreuses informations erronées lui sont transmises, il arrive qu’il s’oriente sur la mauvaise voie. Enfin, il n’est pas encore possible de décrypter avec précision le cheminement qui a mené à une décision, ni la source des données utilisée pour la réponse fournie. 

Aussi malgré la vague d’enthousiasme face aux possibilités incroyables de Chat GPT, il convient donc de faire preuve de prudence. Les entreprises doivent être conscientes de ses limites et l’utiliser avec discernement. En gardant bien à l’esprit que l’IA, aussi performante soit-elle, ne remplace pas (encore) l’humain.

Immobilier tertiaire : cap sur l’éco-innovation grâce à la taxonomie verte !


Vous avez dit taxonomie ? Derrière ce mot à la consonnance barbare, se trouve un enjeu essentiel : la classification des activités économiques ayant un impact favorable sur l’environnement. Une obligation qui s’impose, depuis le 1er janvier 2023, aux entreprises de plus de 250 collaborateurs, qui affichent un chiffre d’affaires dépassant les 40 M€ ou les 20 M€ de bilan. Objectif : orienter les investissements des acteurs économiques vers des activités durables ! Tour d’horizon des initiatives menées dans le secteur de l’immobilier tertiaire.

Taxonomie, de quoi parle-t-on ?

Dans l’immobilier tertiaire, les entreprises qui construisent, rénovent, achètent, louent ou exploitent des bâtiments, de même que les acteurs financiers détenant des biens immobiliers, doivent désormais recenser, parmi leurs actifs, ceux qui sont « alignés » avec les critères de la taxonomie verte. Au niveau européen, les 6 objectifs environnementaux dans ce domaine sont l’atténuation du changement climatique, l’adaptation, l’eau, l’économie circulaire, la pollution et la biodiversité. 

Pour être considérée comme alignée avec les critères de la taxonomie verte, une activité doit contribuer substantiellement à l’un de ces six objectifs, et ne porter atteinte à aucun des 5 autres. Elle doit aussi respecter un socle de garanties sociales minimales et être conforme à un ensemble de critères techniques définis pour chacun des 6 grands objectifs.

Quelles possibilités d’actions dans le retail ?

Les grands groupes immobiliers de la distribution sont concernés au premier chef par ces obligations. Nombre d’acteurs du retail ont d’ores et déjà entrepris des mesures volontaristes en ce sens. Mais si la transformation des bâtiments constitue un enjeu environnemental majeur, elle implique aussi de fortes répercussions stratégiques et financières. Il s’agit donc de prioriser.

Dans un centre commercial, le chauffage et l’éclairage sont les postes les plus énergivores. Pour atteindre les objectifs fixés par la taxonomie verte, les chantiers prioritaires doivent donc se concentrer, en premier lieu, sur l’isolation et les équipements de chauffage, ainsi que sur la climatisation et la luminosité.

Quel positionnement des foncières face à l’investissement vert ?

C’est le chemin qu’ont choisi de suivre la plupart des groupes immobilier du retail pour rendre leurs actifs plus durables et responsables. Hammerson, propriétaire des Terrasses du Port à Marseille, a ainsi misé sur les énergies renouvelables. Son centre commercial est équipé d’une ferme solaire qui produit 20 % de la consommation énergétique des parties communes et est raccordée à la centrale de géothermie Thassalia. L’entreprise prévoit également d’installer un système de traitement des biodéchets par biométhanisation.

Urw s’est, quant à lui, engagé à réduire la consommation énergétique dans ses centres en déclenchant la climatisation à 26 degrés et en abaissant le chauffage à 17 degrés. Les éclairages des parkings ont également été réduits de 30 %, tandis que les lumières du centre sont complètement éteintes en dehors des heures d’ouverture. En parallèle, le groupe a mis en place des opérations de régénération urbaine qui s’intègrent parfaitement dans le tissu urbain, comme le montre l’exemple des Ateliers Gaîté.

Klépierre, l’un des leaders du secteur, impose la création de sas lors de chaque rénovation, pour limiter l’apport d’air chaud ou froid. Les chaudières à gaz sont remplacées par des pompes à chaleur ou de la géothermie, et des climatisations équipées de tours réfrigérantes adiabatiques (méthode de rafraîchissement basée sur la vapeur d’eau) sont installées.

Enfin, les centres Apsys ont opté pour une approche globale, incluant la mise en place de rondes nocturnes systémiques, la sensibilisation des commerçants via des actions pédagogiques régulières autour du « bail vert », ainsi qu’un suivi particulièrement rigoureux de la part des équipes de direction lors des réaménagements des locaux commerciaux. 

Autant d’initiatives qui témoignent de la prise de conscience écologique des groupes immobiliers du retail et de leur engagement volontariste en faveur d’investissements plus durables. 

Inflation explosive en France : quels impacts sur le retail ?

Guerre en Ukraine et crise énergétique obligent, l’année 2022 a été marquée par le réveil de l’inflation. En un an, l’indice des prix à la consommation a augmenté de 5,9 % en France, atteignant même jusqu’à 6,2 % en octobre 2022. Une situation inédite, qui se traduit directement dans les comportements d’achat des consommateurs et contraint les acteurs du retail à adapter leurs stratégies.

Femme au supermarché analysant une bouteille de lait

Un réveil de l’inflation attendu

Avec près de 6 % de hausse enregistrée en 2022, l’inflation en France est bien loin des 2 % cible fixés par la Banque centrale européenne. D’autant que ce chiffre masque une réalité plus sévère encore : sur certains produits alimentaires, l’augmentation atteint 16,9 %. Et, dans le secteur de l’énergie, elle s’élève même à 19,2 %.

Une situation partagée par l’ensemble de nos voisins européens, qui se traduit par une consommation en baisse au sein de la zone euro. Malgré ce contexte inédit, les effets de la crise énergétique apparaissent toutefois plus modérés que prévu. Au quatrième trimestre 2022, en Europe, l’activité économique est ainsi resté globalement stable.

Quant aux Français, ils ont dépensé bien plus que les années précédentes. On observe en revanche une réorientation de leur budget. Au premier semestre, leurs dépenses se sont dirigées principalement vers les produits non-alimentaires, dans la continuité de la période post-Covid. Au second semestre au contraire, leurs achats se sont portés sur l’alimentation, compte tenu de l’accélération de l’inflation.

L’heure aux arbitrages budgétaires pour les consommateurs

Dans le contexte inflationniste actuel, les achats « plaisir » et shopping » se font, quant à eux, bien plus rares. Les consommateurs, fortement impactés par la hausse des prix, se soucient davantage de préserver leur trésorerie, quand elle existe, de couvrir leurs dettes ou de satisfaire leurs besoins primaires (manger, se loger…). L’indicateur de l’Insee synthétisant la confiance des ménages est ainsi tombé à 82, en décembre 2022, bien en-deçà de sa moyenne de 100 qu’il affiche sur la longue période. En début d’année, il culminait encore, en effet, à 99.

Or, si ce nouveau comportement des consommateurs est bien naturel, il se révèle aussi une mauvaise nouvelle pour les détaillants. D’après la CCI de Paris, pour 61 % de l’ensemble des commerçants, l’inflation a entraîné des répercussions, importantes, voire très importantes sur leur activité durant les dernières soldes de janvier : 46 % des commerçants évoquent ainsi unebaisse du pouvoir d’achat des consommateurs, 28 % un changement de priorité dans leurs dépenses, et 25 % une baisse de la fréquentation. Selon un sondage réalisé par Deloitte en octobre 2022, plus de 70 % des consommateurs se disaient par ailleurs inquiets de la hausse des coûts des achats quotidiens.

Un plan anti-inflation activé début mars

Dans ce contexte, le ministre de l’économie et des finances, de la souveraineté industrielle et du numérique, Bruno Le Maire, et Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des PME, du commerce, de l’artisanat et du tourisme, ont annoncé la mise en place d’un « trimestre anti-inflation » début mars.

Celui-ci se traduit par de nouvelles marges de manœuvres accordées aux distributeurs. Ainsi, les produits qui seront vendus aux prix « les plus bas possibles » seront « choisis librement », et pourront varier d’une région à l’autre. Dans les rayons, ils seront identifiables grâce à un logo tricolore « trimestre anti-inflation« . Ces opérations commerciales porteront essentiellement sur les produits de marques de distributeurs.

En juin 2023, débutera une nouvelle vague de négociations, afin d’ajuster le dispositif. Selon le ministre, un ralentissement de l’inflation des matières premières et du fret maritime sont à prévoir au deuxième semestre.

Une accalmie prévue en 2024

Après la rapide et forte hausse de 2022, l’inflation devrait se stabiliser cette année autour de 6 %, un niveau toujours élevé. L’année sera marquée par deux périodes distinctes : un pic attendu au premier semestre, suivi d’une décrue progressive mais très nette, sur le reste de l’année.En glissement annuel, l’inflation descendrait alors à 4 % au quatrième trimestre 2023. 

Puis, en 2024 et 2025, la Banque de France annonce un niveau de l’indice des prix à la consommation pour les ménages français situé respectivement autour des 2,5 et 2,1 %.

Concernant la croissance, une très nette baisse est en revanche prévisible pour 2023, alors que celle-ci se situait à 2,6 % en 2022. Selon plusieurs publications économiques et premières prévisions estimatives, la stabilité économique devrait être de retour en 2024-2025, avec un premier retour à la hausse du PIB, à 1,2 % puis à 1,8 % d’ici trois ans.

En attendant, les acteurs du retail et du commerce dans leur ensemble devront donc s’habituer à une nouvelle expression : s’armer de patience.

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97/100 pour Accessite ! 📣

Nous sommes fiers de vous annoncer que nous avons obtenu le score de 97/100 sur l’index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes pour l’année 2023. 👏

Concernant les critères de ce score :

➡ L’écart de rémunération femmes-hommes,
➡ L’écart de répartition des augmentations individuelles,
➡ Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité,
➡ La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations.

L’équité et l’inclusion sont essentielles à la réussite de nos équipes. 🚀