Rencontre avec Chloé, responsable RSE chez Accessite

Alors que la RSE est devenue une thématique incontournable dans les entreprises, Accessite est l’un des rares acteurs du retail à proposer un accompagnement complet sur ces sujets à ses clients. Rencontre avec Chloé, nouvelle responsable du service : une jeune femme passionnée, déterminée à embarquer bailleurs et gestionnaires dans la dynamique RSE !

Peux-tu nous décrire ton parcours avant ton arrivée chez Accessite ?

Je suis juriste de formation. J’ai ensuite complété mon cursus initial à l’âge de 28 ans par un Master en droit du développement durable, après une 1re expérience professionnelle. Cela fait désormais 12 ans que je travaille dans le domaine de la RSE, au sein de différents secteurs : le multiservices, les télécoms puis l’immobilier que j’ai découvert il y a 3 ans, chez Hammerson. Rejoindre Accessite représente aujourd’hui pour moi un beau challenge : un poste qui me permet de combiner un volet très opérationnel, propre à la gestion pour compte de tiers, avec l’élaboration et la construction d’une stratégie globale en matière de RSE. 

Pourquoi la RSE devient-elle si importante aujourd’hui pour les centres commerciaux ?

La 1re raison est réglementaire. De nombreux textes s’imposent désormais aux centres, avec des obligations de reporting et des objectifs de plus en plus exigeants en matière de consommations d’énergie, d’équipements électriques ou solaires, ou encore de tri des déchets. Que l’on soit bailleur, gestionnaire, ou technicien, tous les acteurs sont concernés. 

Ensuite, au-delà de cet aspect contraignant, la RSE offre aussi de formidables opportunités. Elle permet de réaliser des économies sur le long terme, en devenant moins dépendant des fluctuations du prix du gaz ou de l’électricité, grâce aux énergies alternatives.  C’est aussi un excellent levier pour faire évoluer l’image des centres, pouvant servir par exemple de supports à des animations marketing et à de la communication sur site.

Quelles sont tes principales missions auprès des centres ?

Je fais beaucoup de pédagogie, pour aider les bailleurs et les locataires à décrypter les textes réglementaires, de plus en plus complexes. Mon rôle est d’expliquer les enjeux en termes de délais, d’obligations, mais aussi de sanction administrative et financière en cas de non-respect de la réglementation. Je les accompagne aussi dans la mise en œuvre de solutions : recherche de prestataires, de financements, ou encore construction d’argumentaires auprès de leurs divers interlocuteurs. Enfin, je mène un travail d’évangélisation, afin que les centres s’approprient pleinement les enjeux de la RSE.

Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ? 

J’apprécie énormément l’aspect transversal de la RSE, à la croisée des problématiques environnementales, sociétales, économiques et juridiques. Mon ambition est ainsi d’élargir le spectre, au-delà des seuls aspects de conformité technique que l’on retrouve souvent dans les centres. L’enjeu est en effet de construire une stratégie globale en matière de RSE, qui permettra non seulement d’améliorer l’image de nos centres, mais aussi de proposer aux bailleurs une démarche structurée, encore plus efficiente.

Les zones commerciales et leurs acteurs de la dynamisation des territoires

Le marché de l’immobilier commercial, au 1er semestre, a été marqué par 3 grandes annonces. En premier lieu, le groupe Casino, rattrapé par une dette colossale, cède une partie de ses magasins à Intermarché. Le groupe Carrefour, lui, conclut un accord avec le groupe Louis Delhaize pour le rachat de ses enseignes Match et Cora. Il annonce aussi un partenariat avec Nexity afin de revaloriser près de 80 sites Carrefour en France. Une annonce qui fait écho au plan de transformation des zones commerciales présenté par le gouvernement, le 11 septembre dernier.

Changement d’enseigne pour 119 magasins Casino

Accusant une dette de plus de 6 milliards d’euros, le groupe Casino présidé par Jean-Charles Naouri avait annoncé fin mai la signature d’un accord avec le Groupement des Mousquetaires. Au total, 119 points de vente, issus du périmètre Casino France (hypermarchés, supermarchés, enseignes de proximité), seront ainsi cédés à Intermarché dans les 3 ans à venir. Les enseignes Franprix et Monoprix, elles, ne sont pas incluses dans l’accord.

D’après plusieurs sources syndicales, une première vague de cessions devrait intervenir dès le 2 octobre prochain, qui concerne 61 magasins dont 10 hypermarchés, pour un chiffre d’affaires total de 549 millions d’euros HT. 

La deuxième vague de cession sera lancée au cours des 3 prochaines années, sur un volant similaire de magasins, pour un chiffre d’affaires global de 502 millions d’euros HT.

Enfin, une dernière vague, optionnelle, porte sur un chiffre d’affaires de 461 millions d’euros HT. Il s’agit d’une promesse d’achat pouvant s’exercer à la demande de Casino, durant une période de 3 ans. 

La liste des cessions peut, bien sûr, encore évoluer après examen par l’Autorité de la concurrence. Pour la 1re vague, la bascule juridique s’effectuera via des sociétés de transfert, détenues à 51 % par Casino et 49 % par Intermarché. Cette dernière se donne ensuite le temps nécessaire pour trouver des adhérents intéressés. Une mission loin d’être évidente, d’où la solution de portage proposée. Selon les syndicats, toutefois, Intermarché ne donnera pas de directive à ses adhérents concernant les acquis sociaux, comme le veut la règle dans les groupes indépendants.  

Rachat de Cora et Match par Carrefour

Le groupe Carrefour présidé par Alexandre Bompard a quant à lui annoncé en juillet dernier le rachat des enseignes Cora et Match en France, soit 60 hypers et 115 supermarchés ayant généré en 2022 un chiffre d’affaires de 5,2 milliards d’euros hors taxe. Une opération qui permet désormais à Carrefour de talonner Leclerc avec une part de marché cumulée de 22,5 % (20,1 % pour Carrefour, 2,4 % pour Cora et Match), contre 23 % pour E.Leclerc1. Carrefour conforte ainsi sa position dans le trio de tête des enseignes de la distribution alimentaire, devant l’alliance Intermarché/Casino, et très loin devant Système U et Auchan.

Avec 175 magasins au total, l’opération d’achat concernera près de 24 000 salariés en France, l’accord excluant les activités belges du groupe Louis Delhaize, mais aussi son enseigne de jardinerie, Truffaut. 

La famille Bouriez à la tête du groupe aurait cherché à vendre depuis un peu plus de 5 ans déjà, mandatant plusieurs banques d’affaires. C’est finalement la complémentarité géographique de son parc de magasins avec celui de Carrefour qui s’est avérée décisive dans le rachat. Les magasins Cora et Match occupent en effet des parts de marché importantes dans les régions Grand Est et Nord de la France, où Carrefour est peu présent. Pour Alexandre Bompard, cette « première acquisition majeure en France depuis plus de vingt ans consolide le leadership de Carrefour sur son marché domestique, dans le secteur de la distribution alimentaire ».

Carrefour précise par ailleurs qu’une moitié des synergies annoncées sera liée à l’optimisation de la performance commerciale, à travers le développement de l’omnicanal, l’optimisation de l’activité non alimentaire, l’augmentation du poids de la marque propre, ainsi que les synergies logistiques et les achats.

Si la transaction reste soumise à l’approbation de l’autorité de la concurrence française, Carrefour espère, compte tenu des enjeux de concurrence limités, une finalisation de l’opération à l’été 2024.

Nouveau partenariat entre Carrefour et Nexity

Dans le cadre du plan stratégique Carrefour 2026 présenté par le groupe en novembre dernier, Carrefour s’associe à Nexity pour la réalisation d’opérations de mixité urbaine. 76 sites seront concernés sur l’ensemble du territoire français, touchant l’ensemble des formats (hypermarchés, supermarchés, magasins de proximité). En créant un véhicule de portage foncier avec Nexity, l’objectif est de transformer les magasins existants en des lieux mixtes, partageant l’espace avec des logements, des commerces et des bureaux. La création du véhicule de portage foncier est prévue, au plus tard, pour le 1er trimestre 2024. Il sera détenu à 80 % par Carrefour et à 20 % par Nexity.

Représentant une superficie d’environ 800 000 m2, les 76 sites ainsi transformés devraient permettre la création de 12 000 logements, 120 000 m2 de commerces dont la reconstitution de certains magasins, 10 000 m2 de bureaux et activités, ainsi que 17 000 m2 d’hôtellerie.

40 sites, situés en cœur de ville, seront entièrement réhabilités. L’aménagement des 36 autres, implantés en entrées de ville ou de zones commerciales, concernera des espaces de parking existants. Ils seront alloués à des projets urbains visant à développer la mixité urbaine, lutter contre l’artificialisation des sols et à s’intégrer à l’aménagement du territoire, en concertation avec les élus.

En novembre 2022, Alexandre Bompard estimait que la transformation de son parc en France concernerait au total une surface de 1,5 million de mètres carrés, représentant un potentiel de création de valeur d’environ 500 millions d’euros d’ici à 2030. Un espace foncier qui en fait aujourd’hui, comme les autres acteurs du retail, un acteur majeur de la transformation des territoires urbains.

1 Part de marché cumulée sur les 6 1ers mois de l’année selon Kantar.

Entre luxe et hard discount : une ère de consommation toujours plus polarisée

Alors que la Covid et l’inflation ont affaibli nombre de marques, 2 secteurs diamétralement opposés ont réussi, eux, à tirer leur épingle du jeu : le luxe, qui se porte mieux que jamais, et le hard discount, poursuivant son ascension à la faveur de la hausse des prix, tout en répondant aux désirs d’achats d’impulsion des consommateurs.

Le luxe, un secteur qui prospère au milieu de l’incertitude

Passé au travers de la Covid, le marché mondial du luxe semble également peu affecté par la conjoncture macroéconomique actuelle. Le secteur a retrouvé des niveaux d’activité similaires à ceux antérieurs à la crise sanitaire, avec une croissance qui tend même à s’accélérer. Alors que cette dernière s’élevait à 4 % entre 2014 et 2019, elle a progressé de 16 % en 2021 et 2022, tandis que les prévisions sont estimées entre +7 et 9 % pour la période 2022-2023 et à +6 à 8 % pour 2023-20261. Toujours dans leur euphorie de dépenses post-Covid, les Chinois continuent de tirer le marché, suivis par les consommateurs américains, bien que ces derniers soient plus pessimistes. Viennent ensuite l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis puis, enfin, l’Europe. 

Les Millenials et la Gen Z, nouvelles cibles du luxe

Pour les marques, la priorité reste la même : conquérir les segments les plus aisés, qui représentent seulement 1 % du marché mais près de 10 % des ventes en valeur. Le secteur parvient également désormais à recruter dans une nouvelle catégorie de consommateurs, les Millenials et la Gen Z. Ces derniers valent aujourd’hui près de 210 milliards d’euros sur le marché, montant qui devrait doubler d’ici 2026. Non seulement les jeunes dépensent plus que leurs aînés (+15 % en moyenne), mais ils affichent un appétit de dépenses croissant (+33 % pour les Millenials, contre -12 % pour les plus âgés). Une catégorie de population qui offre donc des perspectives positives pour les marques de luxe. Pour s’en saisir, celles-ci doivent construire des offres sur mesure, tout en s’efforçant de fidéliser la Gen Z et les Millenials à moyen terme.  

Le hard discount, entre course aux bonnes affaires et achats d’impulsion

À l’autre extrême du marché, les consommateurs plébiscitent les enseignes hard discount, pour modérer la baisse de leur pouvoir d’achat. Mais au-delà des motivations rationnelles, de nombreux désirs contradictoires caractérisent la croissance dans ce secteur. Pour certains, il s’agit de céder à une impulsion en saisissant la « bonne affaire » nichée dans les rayons ; pour d’autres, l’objectif est de se faire plaisir différemment en se procurant un produit non essentiel, après avoir économisé dans son panier de courses habituel. Dans ce contexte, les enseignes comme Aldi, Netto, Action, Normal, Toujust ou encore Primark, pour ne citer que quelques exemples, gagnent du terrain.

Les acteurs historiques du discount accélèrent leur progression

Porté par le succès croissant de ses produits d’électroménagers, de jardinage ou de décoration à bas prix, Lidl vient de lancer son site de vente en ligne. Une petite révolution pour le discounter dont le budget de communication s’élève aujourd’hui à 500 millions d’euros par an, soit l’équivalent d’un Leclerc. 

Son éternel concurrent, Aldi, redouble quant à lui d’efforts pour le rattraper. Avec 3 % de parts de marché (contre 8 % pour Lidl), il compte ouvrir et agrandir 100 magasins par an pour atteindre 1 900 points de vente (contre 1 500 pour Lidl). Ces ouvertures sont prévues en particulier en Île-de-France, dans le Sud-Ouest et le Sud-Est. Un nouveau concept, concentrant 1 600 références sur 1 000 m2 avec 90 % de marques propres affichées comme étant 37 % moins chères, devrait aussi lui permettre de conquérir de nouveaux clients. La France est le pays prioritaire de l’enseigne qui y investira cette année 400 à 500 millions d’euros. 

De nouvelles enseignes en plein essor

Présente depuis 10 ans dans l’Hexagone, l’enseigne néerlandaise Action, s’est hissée à la 1re place des magasins préférés des Français, devant Mc Do, Leroy Merlin ou Décathlon.  En 2022, elle a vu ses ventes exploser de 30 %. Le dynamisme de l’activité ne se dément pas non plus chez Netto qui a vu ses ventes progresser de 8,7 % en valeur et de 2,7 % en volume en 2022. Son chiffre d’affaires, qui s’élevait à 1,3 milliards d’euros en 2022, est en hausse de 19 % en 2033. De janvier à mars, ce sont en outre 1,4 million de passages en caisse supplémentaires qui ont été enregistrées par l’enseigne, laquelle projette d’ouvrir 500 points de vente d’ici à 2027. Enfin, Toujust fait ses premiers pas sur le marché avec un 1er magasin ouvert dans le Gard en mars 2023 et déjà une centaine d’entreprises coopérantes.

L’exception Shein

Si elle ne fait pas partie des marques discount, Shein illustre néanmoins le paradoxe du marché, avec ses produits vendus à petits prix et plébiscités par les 15-24 ans, qui font aussi leurs achats auprès des marques de luxe. 50 % de sa clientèle se situe dans cette tranche d’âge.  Présente dans 220 pays, Shein cumule les chiffres records : elle est l’application la plus téléchargée dans la catégorie shopping aux États-Unis tandis que son hashtag #Shein a enregistré 59 milliards de vues sur TikTok. En 2022, la marque a réalisé près de 23 milliards de dollars de ventes.

1 Étude BCGXALTAGAMMA- 2023

Hall U NEED : Now Enjoy, Eat, Drink !

Véritable temple du divertissement indoor, le nouveau concept lillois Hall U NEED a ouvert ses portes en juin 2021. Inspiré des complexes multi loisirs nord-américains, on y trouve, à l’intérieur, tout ce qu’il faut pour s’amuser : jeux d’arcades, bowling, karaoké aux décors Instagrammables, mais aussi réalité virtuelle et une aire de jeux XXL pour les tout-petits. En résumé, Hall U NEED est «The » place to be pour un moment de détente inoubliable !

Réinventer ses sorties et vivre de nouvelles expériences

Derrière l’acronyme anglais de Hall U N.E.E.D., se cache la philosophie même de l’établissement : « Now Enjoy, Eat, Drink », à savoir « maintenant, amuse-toi, mange et bois ! » Situé à 10 minutes de Lille, dans les anciennes halles de la filature de Saint-André, Hall U NEED se veut un lieu hybride où se côtoient restauration, bar, jeux interactifs et à sensation. Un immense temple dédié au divertissement sous toutes ses formes, où l’on vient vivre les loisirs à l’américaine. Avec une superficie totale de 7 000 m2, l’espace peut accueillir jusqu’à 1 600 personnes. Il s’agit ainsi du 2e plus grand complexe de loisirs indoor en France.Créé par Cyril Parenna, ancien dirigeant de tour operator, il a vocation à révolutionner l’offre de loisirs en concentrant d’innombrables activités sur un seul site, pour tous les goûts et tous les âges.

Le royaume XXL du loisir et du jeu

Envie d’une soirée bowling, d’un défi aux jeux d’arcades ou bien de pousser les vocalises sur les tubes de l’été, dans l’un des 11 boxes de karaoké privatif ? En famille ou entre amis, il y a l’embarras du choix pour passer un bon moment ! L’endroit ravira autant les nostalgiques du billard et du flipper que les amateurs de sensations fortes et d’innovations technologiques. D’une salle à l’autre, le visiteur navigue entre jeux de basket, air-hockey, jeux de rédemption, avant d’être littéralement happé par l’arène de VR ou le Racing bug, un jeu où l’on affronte ses amis au volant d’une voiture miniature pilotée à distance. Le plus jeunes ne sont pas oubliés :  une aire de jeux de 600 m2 leur est dédiée. Composée de 4 univers, elle comprend des labyrinthes, un espace trampolines, un parcours ninja et un espace « baby » avec des surprises à découvrir tout au long de l’exploration.

Quant à la décoration, elle aussi vaut le détour, plongeant tour à tour le visiteur entre ambiance rétro et univers futuristes. Néons au plafond, vans coupés ou télésièges servant de tables… Le design décalé invite à la déconnexion totale, pour s’adonner pleinement aux loisirs.

Une autre vision du jeu pour le grand public, mais aussi pour les entreprises !

L’accès à cet univers incroyable et ludique est gratuit. Seules les activités sont payantes, en rechargeant sa carte Hall U NEED ou en se procurant un bracelet à usage unique, donnant droit à une journée ou soirée d’activités illimitées.Conçu et imaginé pour le grand public, l’espace accueille aussi les professionnels pour des journées et soirées incentive, autour d’un karaoké ou d’une activité de réalité virtuelle, mais aussi pour des réunions de travail. Hall U NEED dispose en effet d’un espace de séminaire de 300 m2, ainsi que de salles de coworking. L’idéal pour développer le teambuilding de ses équipes, autour d’une autre vision des loisirs ! 

Brique House, entre restaurant branché et brasserie craft du Nord !

Né en 2020, le concept de Brique House revendique fièrement les couleurs de son fief lillois. Aujourd’hui présente dans 5 villes de France, cette brasserie aussi chaleureuse que déjantée, propose à ses clients une expérience unique mêlant bières, pizzas, pâtes et ambiance colorée ! La dernière « taproom » de l’enseigne, où l’on peut savourer les créations uniques de Brique House, a ouvert à Paris cet été !

La bière craft en direct du Nord

Brique House est né de l’envie commune de Baptiste Duffossez et Joseph Timmermans, 2 hommes du Nord fiers de leur fief, de lancer ensemble un projet unique autour de la craft beer. Leur objectif : casser les codes et défier la tradition en proposant une expérience alliant bières créatives et artisanales avec des lieux complètement déjantés ! Le nom de l’enseigne provient bien sûr de l’emblème des rues de Lille, la brique. Quant à leurs « taprooms », au nombre de 5 dans l’Hexagone, elles invitent le public à découvrir une grande diversité de créations toujours plus explosives !

Un coup de « pression » qui réinvente le monde de la bière

Dans ces lieux hybrides, la bière est brassée sur place. À la carte, on trouve une dizaine de variétés de cette boisson, classiques ou expérimentales, avec, pour les accompagner, des pâtes et des pizzas. Un concept minimaliste qui mise avant tout sur la convivialité autour de la bière. Autre originalité du projet : les clients sont invités à donner leur avis et à élire la bière expérimentale qu’ils préfèrent. Celle qui recueille le plus de votes gagne le droit de devenir une référente permanente de l’enseigne et de rester 1 an sur la carte !

5 taprooms en France, entre brasserie et restaurants

3 ans à peine après l’ouverture de la 1re taproom, le concept est rapidement devenu un succès ! Après Lille centre, la Brique House s’est aussi invitée à Saint-André Lez-Lille, Bordeaux, Villeneuve d’Ascq et, dernièrement, à Paris sur les Grands Boulevards. Depuis l’été, on y retrouve l’ambiance colorée et déjantée de l’enseigne sur près de 1 000 m2.

Au total, l’entreprise affiche aujourd’hui un chiffre d’affaires de 9 millions d’euros, et compte près de 170 salariés, ainsi qu’un immense site de production dans les Hauts-de-France, et plus de 1 000 hectolitres par mois de bières houblonnées écoulés !

Accessite ouvre la réflexion sur l’immobilier commercial avec Vision Retail, son tout premier podcast !

Parce que le monde du retail est en pleine transformation et que son avenir se décide dès aujourd’hui, Accessite lance son podcast dédié aux enjeux actuels et futurs de l’immobilier commercial. Lancé le 19 septembre dernier, Vision Retail est ainsi le nouveau rendez-vous incontournable de cette rentrée, pour tous ceux qui veulent mieux comprendre les transformations à l’œuvre dans ce secteur.

10 minutes pour comprendre le retail d’aujourd’hui et demain

Animé par Myriam Haji, responsable développement et marketing d’Accessite, Vision Retail propose, en 10 minutes, de faire le tour d’une thématique prospective ou d’actualité. Le format interview a été privilégié, en collaboration avec des experts réputés de chaque sujet. 

Ces derniers interviendront sur des réflexions stratégiques, telles que les nouveaux modèles économiques des centres commerciaux, l’innovation technologique dans l’expérience client, la future place des loisirs numériques ou encore les opportunités et défis de la transformation du retail. 

Un premier épisode avec Alexandre Séjourné, pour engager la conversation

Composée de 10 épisodes, la 1re saison de Vision Retail a ouvert le débat avec Alexandre Séjourné, directeur général d’Accessite, autour d’un sujet d’actualité : le changement de destination des centres commerciaux ou comment ces derniers, de lieux de commerce, deviennent aujourd’hui des lieux d’expériences. 

Un sujet que ce leader de la gestion d’actifs commerciaux connait sur le bout des doigts, de par son expérience professionnelle, mais aussi pour l’avoir longuement traité en début d’année dans un Livre Blanc : « Le Centre Commercial en 2030 ».

Un rendez-vous à retrouver chaque semaine, sur toutes les plateformes de streaming

Ce nouveau podcast intéressera sans aucun doute tous les acteurs du retail soucieux de l’avenir. Il leur apportera une vision pertinente et positive, ainsi que des clés pour engager les changements qui sont à la fois nécessaires et inévitables.  

Disponibles sur les principales plates-formes de streaming audio, les épisodes de Vision Retail seront diffusés à raison d’un par semaine, jusqu’au 14 novembre prochain.

Commerce et transition urbaine : comment concevoir les nouveaux modèles ?

Pour comprendre comment les nouvelles tendances et innovations façonnent à la fois le paysage commercial et urbain, News Tank Cities propose, en partenariat avec Accessite et Nexity Transformation des Territoires, une matinée de réflexion autour de ces enjeux, le 12 octobre prochain. Ce rendez-vous se déroulera en présence d’Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des PME, du commerce, de l’artisanat et du tourisme, au Morning Laffitte à Paris dans le 9e.

Au programme de la matinée :

Alexandre Séjourné, directeur général d’Accessite, introduira cette matinée pour poser les bases du débat, en rappelant les diverses mutations en cours sur nos territoires urbains et leurs impacts sur l’activité commerciale. Nourrie par les interventions d’élus, mais aussi d’experts du retail, cette discussion se poursuivra autour de deux tables-rondes pour construire une vision prospective de la ville de demain.

  • Table Ronde 1 – 9h30 : la ville change, le commerce aussi… 

Qu’il s’agisse de l’essor du commerce en ligne, de l’impact des nouvelles technologies ou des besoins changeants des consommateurs, cette table-ronde dresse un tour d’horizon des tendances actuelles et des défis à venir.

Intervenants : 

  • Marie Cheval, présidente-directrice générale de Carmilla
  • Alexandre Séjourné, directeur général d’Accessite
  • Cécile Pouzadoux, directrice de Redevco France
  • Table Ronde 2 – 10h45 : de l’entrée de ville aux friches commerciales, l’aménagement commercial vecteur de transition urbaine

Cette deuxième table ronde explorera le rôle crucial que joue l’aménagement commercial dans la transformation des zones urbaines. Les intervenants discuteront de la manière dont les projets commerciaux peuvent revitaliser les quartiers, encourager la durabilité et créer des espaces innovants répondant aux besoins de tous.

Intervenants :

  • Jean Luc Porcédo, directeur général pôle Nexity Transformation des Territoires
  • Elizabeth Blaise, directrice générale de Mercialys
  • Pascal Terrasse, directeur général adjoint du Cerema
  • Séverine Longuet, directrice du conseil d’Accessite

La matinée se clôturera par un temps d’échange convivial, pour prolonger la discussion et favoriser les échanges d’expériences.

Commerce et transition urbaine : comment concevoir les nouveaux modèles ?

Au Morning Laffite, 34 rue Laffitte, 75009 Paris

Accueil à partir de 8H30

Inscription gratuite et obligatoire dans la limite des places disponibles ici